Stephane Pautrot

50 ans après sa sortie, les paroles d'une chanson faisant l'apologie du nazisme demeurent inchangées !





Alors qu'on a accusé Michael Jackson d'antisémitisme pour beaucoup moins que ça, au point de le contraindre à faire des excuses publiques et à changer les paroles de l'une de ses chansons – à ce sujet, lire cet article de Wikipedia en anglais – une chanson de Nicolas Peyrac faisant l'apologie du nazisme continue d'être disponible sur YouTube et continue de passer à la radio, y compris sur France Bleue où elle a encore été diffusée le 15 avril 2024, sans que personne ne s'en émeuve !

En effet, depuis 1975, Nicolas Peyrac clame haut et fort qu'Hitler est au Paradis ! Écoutez donc !L'oncle Adolphe s'était déjà flingué, son Eva l'avait accompagné, des fois qu'il aurait voulu draguer, qui sait si Là-Haut il n'y a pas des folles.


Je rappelle que l'épouse d'Hitler s'appelait Eva Braun et qu'elle s'est suicidée en même temps que lui. Il n'y a donc aucun doute que les paroles de cette chanson de Nicolas Peyrac font référence à Hitler et non pas à n'importe quel Adolphe.

J'espère que vous vous rendez compte de la gravité de ce que qu'affirment les paroles de cette chanson ! En effet, contrairement à Michel Polnareff qui, dans On ira tous au Paradis chante ♫ "On ira tous au Paradis, même moi, qu'on soit béni ou qu'on soit maudit, on ira, toutes les bonnes soeurs et tous les voleurs, toutes les brebis et tous les bandits, on ira tous au Paradis", ce qui reste un point de vue auquel la liberté de pensée lui donne droit, Nicolas Peyrac, lui, met en doute le fait que les homosexuels puissent aller au Paradis tandis qu'il n'a au contraire aucun doute sur le fait qu'Hitler, lui, est déjà au Paradis. Cela signifie que les paroles de cette chanson clament, de manière certes très discrète, car il serait illégal de le faire de manière ostensible, mais de manière bien réelle cependant, qu'Hitler était quelqu'un de bien. Il n'y a donc aucun doute – aucun ! – sur le fait que ces paroles ont été écrites par un nazi chantant la louange d'Hitler. C'est non seulement une honte mais un délit extrêmement grave !

Comment se fait-il que, depuis cinquante ans, pas une seule association juive n'ait trouvé à redire ? Ceux qui ont du pouvoir, ceux qui pointent si souvent l'antisémitisme du doigt, à juste titre, Élie Semoun vous le jure
(*), sont-ils réellement juifs ou sont-ils des nazis satanistes – au 33ème degré, c'est rouge bonnet et bonnet rouge (**) – se faisant passer pour juifs, ainsi que le dénonce le livre de l'Apocalypse, qui fait partie du Nouveau Testament (Apocalypse 2:9 ; Apocalypse 3:9).

(*) Et ne me faîtes pas dire qu'Élie Semoun est un nazi car se moquer des nazis, c'est aussi dénoncer le nazisme. Je considère donc ça comme un devoir. Sachant que, de toute évidence, le nazisme a encore de beaux jours devant lui et que certaines personnes n'hésitent pas à en faire l'apologie de manière discrète mais publique, la question est maintenant de savoir qui dénonce et qui salue car, pour ma part, certains gestes me choquent, surtout à la télévision et dans une émission grand public n'ayant pas, loin s'en faut, un caractère documentaire !

(**) Et ne me faîtes par dire que Nicolas Peyrac, qui a écrit les paroles de cette louange à Hitler est un sataniste : si tous les satanistes du 33ème sont des nazis, on peut très bien faire l'apologie du nazisme sans être sataniste.

Stéphane Pautrot,
stephanepautrot.com
stephanepautrot.fr



Choose Love over power!
C'est en anglais que j'ai illustré cette photo de moi destinée à me moquer du satanisme – sachant que, si les satanistes des degrés inférieurs, notamment jusqu'au au 13ème et au 14ème degrés, sont souvent convaincus de simplement faire partie d'une confrérie se serrant gentiment les coudes, tous les satanistes du 33ème degré sont des nazis. C'est donc en anglais que, pour une diffusion maximale, j'ai dénoncé les huit failles de la doctrine sataniste. Si vous voulez en savoir plus au sujet de l'abus rituel satanique, je vous invite à visiter mon autre site, stephanepautrot.fr, et notamment cette page.